Je n'arrive pas à imaginer que 2016, non plus que les suivantes puissent être meilleures que l'année qui vient de s'écouler. Je n'imagine pas que le sort de l'humanité puisse s'améliorer dans un avenir immédiat ou à moyen terme. Je souhaite ardemment cependant à ceux qui me sont chers et à leurs proches que leur soient épargnés ce que Yourcenar appelait "les maux véritables", à savoir la mort, la maladie incurable, l'amour non partagé, l'amitié trahie et d'une façon générale la médiocrité d'une existence moins vaste que nos projets et plus terne que nos songes.
samedi 26 décembre 2015
Inscription à :
Articles (Atom)