mercredi 6 mai 2009
Réflexion
A côté ça ne va pas du tout. Ca crie et ça crie dur. Le premier vrai éclat entre ma voisine et son homme date de quelques jours, quatre tout au plus. Un ton acerbe ; un ton qui met en alerte. Puis il y eut d’autres éclats, avec une sœur cette fois ci, tout aussi hard. On y comprenait le mot jalousie. Il y eut aussi un bref éclat avec une autre dame, une tante ou une belle sœur, habitant à demeure, qui a tout vu et entendu et qui bien sur n’a rien fait ni n’a rien dit . Ca se calme parfois puis ça reprend. Il y a aussi la demi douzaine de pervers polymorphes qui profitent de l’ambiance pour tester à nouveau les limites de chacun. Juste à côté on a une tante et pas loin il y a deux belles soeurs. Les mères et les enfants sont là entre elles et eux, donc chez elles et chez eux, qui criant qui piaillant et qui piaillant plus fort s’il y a quelque chose à gagner. Et tandis que les femmes vaquent à leurs affaires de mères, les hommes, certains loin d'ici, vaquent à leurs affaires d'hommes. C’est plié. Le pauvre garçon n’a aucune chance. Il négociera ou s’en ira. Denam'neyo.
Ici le foyer commence là où il y a l’enfant. Celle qui le fait et qui l’alimente.
Chez nous, les gens du Nord, il commence avec le feu ; celui qui le fait et qui l’alimente.
Question de priorité.
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1 commentaire:
Précision pour les lecteurs fidèles, il s'agit des voisins de gauche en regardant de la rue et non des très calmes voisins de droite...
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