Bon et bien ça y est. Vingt cinq tableaux qui devaient au départ être faits en noir et blanc avec un petit peu de couleur et qui n'ont au final pas de noir et blanc du tout. Le premier résultat c'est que ça m'aura donné envie de refaire de la couleur, lais pas pour tout. Les choses et animaux sous marins ont ceci de bien que lorsqu'on les peint on n'a pas besoin de faire ressemblant.Bon nombre des sujets que j'avais sous les yeux ont été un prétexte pour juxtaposer couleurs et matières. Il y avait longtemps que je ne m'étais pas "laissé aller" de cette façon; c'est agréable. Vraiment, je me vois de plus en plus faisant les deux; couleur et noir et blanc. Mais comme je suis incapable de prédire mon propre avenir je ne peux à ce stade que dire "on verra".
Plus que six semaines à tirer.
A bientôt
3 commentaires:
As-tu la me^me sensation que moi...une énorme fatigue liée à l'énergie d'accomplir "une mission" qui quand elle se termine laisse place au relachement??...
Les six semaines que tu évoquent sont-elles liées à ton retour mahorais ??? Aurais-je dois à mon catalogue d'expo Monet au grand palais ??
Si tu rates ça...je te prives de trempette dans ma piscine pendant 1 mois.
Tes contrastes ont évolué vers le sombre et les couleurs sont plus froides. Ca n'est pas pour me déplaire. Si les marseillais font la fine bouche, nous en profiterons !
J'ai un faible pour le nudibrache.
voilà donc le travail sur les fonds sous-marins en ordre de marche pour aller s'exposer à Marseille
Bravo Marcel pour l'énergie que tu as mise à nager dans ces profondeurs colorées
j'aime bien tes "mono-color" de bleus avec poissons tortues et nage poétique... Mais je comprends que tu te sois remis à la couleur "totale" pour témoigner d'un monde différent de celui du regard habituel des hommes... je me souviens de ce "monde du silence" qui m'avait subjugué quand j'avais tout juste 14 ans!!!
puis je vois que tu as repris dans la foulée tes blancs et noirs pour le corps des noirs de là-bas, en ça, tu le sais, je trouve que tu excelles, alors à bientôt pour en parler de vive voix
micky
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