samedi 6 décembre 2008

Les Chinois sontils des wazungu comme les autres? (suite)


Quand l’Européen contemple la Nature il sait qu’elle lui a été donnée pour qu’il en soit le maître, pour qu’on y puise ce qui nous est utile ou agréable. L’on doit remercier Dieu pour ces infinies abondances, Le louer pour tous ces bienfaits et tenter de reproduire la Nature c’est une façon d’honorer Dieu. L’humilité va donc de soi parce que si on prend Dieu comme maître ce n’est pas gagné d’avance et on va passer beaucoup de son temps à se dire qu’on n’y connaît rien.
Quand l’Européen dessine il cherche à retrouver quelque chose qu’il a vu et que personne d’autre n’a vu. Il montre alors une partie de la Nature. Il le fait du mieux parce que son dessin doit honorer Dieu. L’artiste européen sera besogneux et facilement coupable de n’avoir pas fait suffisamment.



Quand le musulman contemple la Nature il sait que Dieu l’a mise à sa disposition. Il la subit donc dans ce qu’elle a de désagréable, comme tout un chacun et en jouit sans entraves. Il ne va pas essayer de copier ce que Dieu a fait (pourquoi pas rivaliser avec Lui tant qu’on y est ?)
Quand le musulman dessine ou calligraphie il n’est pas préoccupé par la Nature mais par celui qui l’a faite. Sous son crayon ou son pinceau les formes que lui proposera la Nature se simplifieront, se « géométriseront » et se répèteront tandis que leur ensemble, leur « communauté » se complexifiera à l’extrême. Le rythme alors seul compte, ossature de la psalmodie, propice à la prière ou tout au moins à l’abandon et de là à la soumission, premier article de la foi. Son dessin doit servir Dieu. L’artiste musulman sera besogneux et soumis, y compris à ses limites, qui ne le culpabiliseront jamais.




Quand le Chinois contemple la Nature il voit tout ce que Dieu a laissé à l’humanité en même temps qu’il sait que Dieu ne peut ni être joint ni appréhendé. La Nature appartient à la sphère de l’Humain ; pas Dieu. Comprendre la Nature c’est comprendre la façon dont l’univers fonctionne. Et l’Homme avec lui. Et se comprendre soi, ce qui n’est pas rien mais ce n’est pas comprendre Dieu. Expliquer la Nature c’est d’abord la prendre toute entière avec ses biens et avec ses maux.
Quand le Chinois dessine il explique la Nature, la simplifie, trouve dans les fouillis qu’il a sous les yeux les harmonies qui rendent la Nature compréhensible. Il y cherchera des équilibres, premiers symptômes de compréhension, puis des harmonies, véritables preuves que quelque chose d’important a été compris dans le fonctionnement de l’univers et de soi-même. Son dessin doit servir les hommes. L’artiste chinois sera besogneux et fier.


Quand l’Africain contemple la Nature il sait qu’il n’est pas différent d’elle ni elle de lui. Et comme Dieu est partout ce que Nature veut Dieu le veut. Comprendre le fonctionnement de la Nature a moins d’importance que comprendre ce qu’Elle veut. Avoir un objet qui l’évoque déclenche chez l’individu tout un faisceau de projections qui seront autant d’informations sur le rapport qu’il entretient avec l’œuvre divine. Le ressenti a alors valeur de connaissance.
Quand l’Africain dessine il le fait en relief ; il fabrique un objet qui évoquera ou servira à évoquer la nature mais ne la copiera jamais. En outre, représenter la Nature n’est pas très valorisant ; c’est montrer au monde qu’on n’est pas aussi bon qu’Elle, c’est se forcer à bégayer. Il est où l’intérêt ?
Ses objets serviront d’intermédiaires avec le sacré ; l’artiste africain sera besogneux et utile.


Et notre Comorien là dedans, à la croisée des chemins africains et arabes, méprisera la représentation et privilégiera l’utile. Nous voilà bien.

La façon dont une société appréhende l'art correspond à la façon dont elle appréhende la Nature, laquelle correspond à la façon dont elle appréhende le divin. On n'est pas sorti de l'auberge!
Les profs d'arts plastiques servent-ils à quelque chose?
Les profs d'arts plastiques doivent-ils être présents à Mayotte?

Si j'étais responsable de l'enseignement de l'art pictural, à Mayotte ou aux Comores en général je crois que je commencerais par renvoyer chez eux tous les profs d'arts plastiques européens pour les remplacer par des artistes chinois.

(à suivre...)

1 commentaire:

Anonyme a dit…

UNION DES COMORES
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NGAZIDJA/ ANJOUAN/ MOILI : Sécession
1ère série : Mayotte, départementalisation
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Il n’est pas honnête de faire du Nationalisme un gagne pain pour certains politiciens, un moyen d’endormir les comoriens pour accéder au pouvoir sans projet pouvant aider à la consolidation du nationalisme.
Le Nationalisme, c’est d’abord une question de cœur, de croyance avant que ça ne devienne un vecteur politique. Personne ne peut obliger l’autre d’être ce qu’il ne veut pas être, sinon on parlerait de prise d’otage, de colonisation ;
Revenons aux Comores :
Pour Mayotte Île Comorienne, je crois que c’est du passé ; que les égoïstes politiques à l’origine du retrait de cette Ile de l’ensemble Comorien assument leur responsabilité et demandent pardon au peuple :
-Tout a commencé avec le transfert de la Capitale de Dzaoudzi vers Moroni. Ceux qui l’ont fait se connaissent,
Ensuite, le déséquilibre politique dans la gestion des Affaires de l’Etat, une représentativité nationale mise à mal, la tentation de pouvoir à vie, le pouvoir familial, la conquête du pouvoir pour le pouvoir, le favoritisme et le mépris ont aggravé l’éloignement de Mayotte,
-l’acceptation des dirigeants comoriens de l’époque pour l’organisation d’un Référendum d’autodétermination en 1975 non maîtrisé et dans la précipitation. Ce sont des responsables politiques qui voulaient garder le pouvoir coûte que coûte sous la pression des revendications du Molinaco, Pasoco, FD,
Enfin, l’Indépendance Unilatérale de juillet 1975 allait complètement fermer les portes des retrouvailles avec Mayotte.
Les tergiversations et les différends scénario de chacun des Présidents qui ont suivi, en voulant jouer la malice pour à la fois gagner l’estime des Comoriens et le soutien de la France pour perdurer au pouvoir, ont définitivement consolidé Mayotte dans sa marche vers Paris :
-De 1978 (de retour d’exil) à 1989, AHMED ABDALLAH a joué le cinéma en basant sa lutte pour le Réintégration de Mayotte à travers seulement des discours fleuves aux Nations Unies avec une diplomatie Comorienne confiée à un Mahorais Mr Kafé.
-DJOHAR arrive de 1990-1995 et poursuit la démarche d’AHMED ABDALLAH, son guide.
-De 1996-1998, TAKI arrive et gère la sécession anjouanaise et feind d’oublier Mayotte alors qu’il fait partie des lauréats du transfert de la Capitale à Moroni, le Référendum de 1974 et l’Indépendance Unilatérale de 1975.
-De 1999 à 2005 : le colonel AZALI arrive pour retirer la question de Mayotte de l’ordre du jour des Assemblées Générales des Nations Unis et un pas de plus avec l’accord des Comores pour la participation de Mayotte aux jeux des Iles de l’Océan Indien en tant qu’entité, donc en tant que pays.
-En 2006, SAMBI arrive, valide les positions antérieures et s’en va à Madagascar inaugurer la première participation de Mayotte aux jeux des Iles de l’Océan Indien. AZALI s’est estimé heureux de SAMBI d’avoir suivi ses pas.
En 2007, SAMBI règle un contentieux électoral par une répression dans le sang à ANJOUAN. Les Mahorais se sont estimés heureux de s’être éloigné bien avant d’un tel système.
En 2008, SAMBI négocie des soutiens à Mayotte au niveau médical. SAMBI tend la main pour du matériel à l’hôpital EL MAAROUF, la construction d’un hôpital à ANJOUAN et la vente de tomates à Mayotte.
-En 2009, le Référendum départemental de Mayotte est fixé ; dans cette situation :
-Qui des Comores et de Mayotte doit attirer l’autre vers son statut ? Pour un observateur attentif, Mayotte l’emporte.
Jeunesse Anjouanaise Avertie


UNION DES COMORES
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NGAZIDJA/ ANJOUAN/ MOILI : Sécession
Mayotte : départementalisation
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2ème série : Moili, une bouderie d’intérêts.
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Les Mohéliens ont toujours boudé pour des questions d’intérêts. Il exige que tout le monde assume la petitesse de leur Ile en superficie et en nombre d’habitants.
Pour pallier à tout ça, Mohéli a toujours réclamé l’équité dans le partage des pouvoirs politique et administratif mais surtout pas l’équité dans la prise en charge des coûts de fonctionnement.
Comme Actuellement, Moili avec un vice Président de la République, un Président de l’Assemblée, à la Cour Constitutionnelle Moili n’a pas la Présidence mais le grand nombre des membres de cette Institutions. Trois Conseillers Mohéliens sur sept que compte la Cour Constitutionnelle.
Pour Moili, si l’équité est admise au niveau du partage des portefeuilles, tout va bien.
Le débat de l’Autonomie est légué au Second Plan et quand on le soulève, c’est par rapport à l’Autonomie pour la conception de la gestion politique de l’Ile et les dépenses de fonctionnement. Pour la prise en charge des défenses, ANJOUAN et NGAZIDJA doivent comprendre les soucis de Moili ; il faut un compte commun des recettes pour aboutir à un partage équitable surtout. Ça se défend, c’est une sensibilité de Solidarité compréhensible.
D’où Moili a toujours compris qu’il ne faut pas être seul pour réussir cet exercice : tantôt Moili s’allie avec ANJOUAN pour faire face à Ngazidja, tantôt Moili s’allie avec NGAZIDJA pour étouffer ANJOUAN. Jusqu’ici, Moili l’a toujours emporté.
Cette fois-ci, Mohéli veut mobiliser à la fois NGAZIDJA et ANJOUAN pour qu’elle prenne la Direction du pays.
Qui l’emportera en 2009 : -SAMBI avec le parachèvement de l’éclatement, -NGAZIDJA avec sa stratégie de concentration des pouvoirs chez elle,-Anjouan avec son combat pour l’existence,-Moili avec sa ruse d’une Suisse des Comores avec son changement d’allié en permanence.
Le jour où Moili dira vraiment ce qu’elle veut, la crise comorienne prendra fin.
Jeunesse Anjouanaise Avertie



UNION DES COMORES
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NGAZIDJA/ ANJOUAN/ MOILI : Sécession
Mayotte : départementalisation
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3ème série : ANJOUAN réagit à la haine et au mépris
En 1997, tout a commencé par une revendication politique. ANJOUAN protestait contre le Premier Ministre en place et le déséquilibre dans la composition de son Gouvernement, un des Dinosaures d’AHMED ABDALLAH, l’incarnation de la Dictature du Parti Unique, du Mercenariat, de l’enrichissement illicite. C’est lui qui n’a pas hésité à s’octroyer des hectares de terrains à VOIDJOU- NGAZIDJA, à s’être construit un village entier pour lui seul ; c’est lui qui, dans les années 80, s’est servi des mercenaires pour assassiner les jeunes de MAGOUDJOU-Moroni du FD.
Au fait, c’est la démission aux Affaires des supporters anjouanais du Président TAKI qui a laissé la porte ouverte aux opposants regroupés autour des partis OPIA et MPA.
Lorsque le Président TAKI s’était aperçu de la gravité de la situation, il a essayé : limoge du Premier Ministre et recomposition du Gouvernement mais la situation était allée loin. N’empêche que tout semblait renter dans l’ordre.
Mais rapidement les partisans de la haine, du mépris et de la suprématie ont tranché avec comme option, faire soumettre les anjouanais et non négocier avec eux ; le choix du débarquement de septembre 1997 est arrêté et exécuté. Les Anjouanais ont estimé qu’entre frères on ne parle jamais par l’intermédiaire des armes. Les Anjouanais ont compris que NGAZIDJA échange le pouvoir contre le sang des Anjouanais ; et du coup le nationalisme comorien est balayé d’un revers.
Avec la mort du Président TAKI et l’avènement au pouvoir du Colonel AZALI, une autre dynamique recolle plus ou moins les morceaux avec l’accord de Fomboni Mohéli en 2001 et la Constitution qu’en est suivie.
Le Président SAMBI arrive et réagit comme s’il n’a pas suivi pas les étapes de la crise comorienne ; il vient avec une option identique à celle du Président TAKI, faire soumettre les Anjouanais avec son débarquement sanglant en 2007 et tout repart à zéro.
Les Anjouanais attristés donneront leur réponse bientôt à l’alliance NGAZIDJA+ MOILI+ TANZANIENS+ SOUDANAIS pour la mort et….. de leurs enfants.
Jeunesse Anjouanaise Avertie



UNION DES COMORES
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NGAZIDJA/ ANJOUAN/ MOILI : Sécession
Mayotte : départementalisation
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4ème et dernière série : NGAZIDJA, la loi du plus fort
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Après avoir tout centralisé, NGAZADJA souffle le chaud et le froid. NGAZIDJA se sert des Anjouanais comme des Mohéliens à tour de rôle pour maintenir son impérialisme et ses intérêts. Hier avec TAKI et AZALI l’aide internationale était bloquée vers ANJOUAN, pour raison de séparatisme.
Avec SAMBI rien ne peut se faire à cause d’un conflit électoral. SAMBI avait annoncé que la quote part de l’aide pour ANJOUAN est dans une Malette bien gardée. Malheureusement la Malette a disparu le jour du débarquement. C’est facile non !
SAMBI est manipulé comme ses prédécesseurs Anjouanais et embarqué vers une destination troublante.
Après toutes les tergiversations sur le statut des Comores, on l’a conseillé de remettre seulement le pouvoir et tout le pouvoir au centre comme de rien n’était depuis belles lurettes ; la Tournante et l’Autonomie doivent s’arrêter.
Jeunesse Anjouanaise Avertie




UNION DES COMORES
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SAMBI/ Référendum de Mayotte
Débarquement vert en perspective
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SAMBI vient d’annoncer son Débarquement vert à Mayotte, à l’image de celui d’ALI SOILIHI de 1975.
SAMBI entouré aujourd’hui par les mêmes techniciens politiques qu’ALI SOILIHI, ce n’est pas surprenant qu’on déterre le guide pour reprendre ses marques.
SAMBI ajoute dans sa déclaration que le « Débarquement vert » sera amélioré par rapport à celui de 1975.
J.A.A pressent trois pistes à surveiller de très prêt :
1er piste – la présence aux Comores des militaires arabes baptisés apatrides naturalisés : quelles pourraient être leurs missions dans la zone ?
2ème piste – actuelle délivrance excessive de visas d’entrée à Mayotte aux Sambistes Anjouanais ; on voit de toutes les couleurs sambistes au départ d’ANJOUAN vers Mayotte que ce soit au port ou à l’aéroport : militaires AND baptisés fonctionnaires, des DJAOULA rasés avec évacuation sanitaire, des femmes avec complications de grosse, des orchestres, des visites baptisées familiales etc
3ème piste : SAMBI va là où on ne l’attend pas. SAMBI peut pousser ses extrémistes fanatiques à Mayotte en situation régulière et ceux qu’il fait débarquer en masse actuellement avec des visas d’entrée pour provoquer la situation dans le but de faire déclencher une opération d’expulsions massives qui pourraient ne toucher que les exilés BACARISTES en attente d’un asile.
Parmi ces exilés, il y a ceux que SAMBI souhaiterait avoir à ANJOUAN pour tirer dessus.
Avec SAMBI, tout doit se régler dans le sang.
Bon courage Mahorais ! Pensez à ANJOUAN après le 29 mars 2009.
Jeunesse Anjouanaise Avertie



UNION DES COMORES
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NGAZIDJA/ Congrès du Parti CRC du colonel AZALI
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La CRC, vient de tenir enfin son Congrès après plusieurs étapes et innovations de toutes natures :
1-Il y a eu la période carcérale des principaux leaders du parti pour détournements de deniers publics.
2-L’approbation par la CRC de la tuerie des Anjouanais avec le débarquement du 25 mars 2008 à ANJOUAN et la fin du Processus de 2001. D’ailleurs, le Patron de la CRC était bien à la Tribune officielle à la Place de l’Indépendance au Building pour honorer la décoration de Salim, promus au garde de Général pour services rendus à la Nation en ayant tué, séquestré, déporté et … les fils anjouanais.
3-Bradage de la Citoyenneté comorienne par le Secrétaire Fédéral de la CRC, Président du groupe parlementaire de l’opposition à l’Assemblée de l’Union et Vice Président de ladite Institution. C’est sa qualité de vice Président que le n°=1 de la CRC de NGAZIDJA a monté le coup bas à l’Assemblée.
Le congrès en soi a consacré la mise à l’écart du Secrétaire Général du Parti avec la poursuite des séries de décisions ambigües :
- le parti CRC est contre SAMBI, contre ce que veut SAMBI. Le parti CRC sera contre le Référendum pour la révision de la constitution dès lors que c’est SAMBI qui le convoque.
- le parti CRC contre la constitution issue de l’accord de Fomboni de 2001, un accord et une constitution que la CRC réclamait la paternité hier.
- le parti CRC est d’accord pour une révision Constitutionnelle mais pas avec SAMBI.
La J.A.A réserve ses commentaires à la prochaine publication.
Jeunesse Anjouanaise Avertie




UNION DES COMORES
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SAMBI/ MAYOTTE –Référendum
Débarquement vert : le rebelote formule ALI SOILIHI
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Un adage est à rappeler aux Mahorais : « qui a bu, boira », c’est un conseil d’ami.
SAMBI vient de faire rendre public à qui veut l’entendre son projet de débarquement vert à Mayotte. Le modèle de débarquement annoncé attire l’attention de plus d’un Comorien.
SAMBI s’est entouré de l’équipe d’ALI SOILIHI : l’actuel Directeur de Cabinet chargé de la Défense, ex rétorsioniste d’ANJOUANAIS entre 1975 et 1978 à la tête de la jeunesse révolutionnaire section d’ANJOUAN ; l’actuel Président de l’Assemblée de l’Union est bien l’ancien Patron de la jeunesse de rétorsion au niveau de l’ensemble des Iles Comores ; l’actuel ministre de l’Education, ancien membre actif de la jeunesse de rétorsion et la liste est longue.
Il est donc normal que SAMBI se propose comme option vis-à-vis de Mayotte, un « débarquement vert ». Comme SAMBI est un copiste, il prend les propositions des autres. Le débarquement vert
SAMBI prend l’option SOILIHISTE mais amélioré. Il parle des hélicoptères et on ne sait toujours pas en question n’est autre que la démarche ratée d’ALI SOILIHI en 1975 en atterrissant à Pamandzi avec un pauvre avion DC4 et à son bord quelques jeunes manipulés pour la circonstance.
Aux frères mahorais ! Restez vigilants. encore le rôle que joueront les « apatrides » naturalisés comoriens.
SAMBI parle beaucoup en matière de constructions pour ne rien faire.
Par contre, pour détruire, pour la casse son professeur est FRANSISCO MADEIRA, il est capable de tout danger.
Un dernier conseil : ne distribuez pas trop de visas d’entrée à Mayotte aux Sambistes jusqu’à la fin du Référendum.
La France a toujours su prévenir être vigilance.
Elle sait que SAMBI est un trompeur changeant.
Jeunesse Anjouanaise Avertie